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L’Heptaméron des Gourmets Ou les délices de la cuisine française

Prix de la nuit du livre 2018

 

 

Œuvre de chef

 

AU PANTHÉON GASTRONOMIQUE des Taillevent, Carême, Escoffier, Point, Chapel, il était une fois Edouard Nignon (1865-1934). Un parcours de légende pour un cuisinier « monstre » qui, de Paris à Londres et de table de tsar en restaurant majuscule, a révolutionné l’idée du chef autant que l’élan créatif culinaire. En 1919, il publie L’Heptaméron des Gourmets. Imaginé comme une balade d’étonnants ambassadeurs ligures au pays de Cocagne, l’ouvrage révèle journées autour de sept menus. Accompagné de quelques grandes signatures de l’époque dont Apollinaire, Nignon y compose, en une centaine de recettes, une authentique cathédrale du goût, considérée comme telle par les plus grands chefs contemporains.

 

 

Livre chef d’œuvre

EN RÉÉDITANT L’HEPTAMÉRON DES GOURMETS, près d’un siècle après sa première parution, Nunchi célèbre un monument de la littérature gastronomique en l’inscrivant dans la dimension du livre d’art. Une aventure créative pour laquelle artistes et artisans des métiers du livre ont accordé le meilleur de leur savoir-faire en écho à ces valeurs qui animent la haute cuisine : intelligence de la main, sentiment esthétique, sensibilité à la matière. Du papier au tissu, de la calligraphie à la typo, de la reliure au coffrage, de la gravure à l’impression, chaque opération participe d’une édition totale, éthique et exigeante. L’Heptaméron des Gourmets se (re-)découvre aujourd’hui sublime et sublimé.

 

Six talents pour un monument:

André Branzi : architecte  Benoît, Dudognon et Stéphanie Allard : maîtres papetiers, Fanny Boucher : maître d’art en héliogravure, Pascal Duriez : typographe d’art,  Kum Youngsuk : calligraphe, et Satomi Sakuma : artiste textile.

 

Un album accompagne l’édition riche d’extraits du manuscrit original, d’une chronologie de la vie d’Edouard Nignon par Pascal Pineau et d’une introduction à l’œuvre signée Emmanuel Rubin.

 

L’ÉDITION NUMÉROTÉE DE 1 À 7 est imprimée sur grand papier japonais Washi, accompagnée de 7 héliogravures sur plaque de cuivre. L’ÉDITION NUMÉROTÉE DE 8 à 78 est imprimée sur grand papier japonais Washi. L’ÉDITION NUMÉROTÉE DE 79 à 777  est imprimée sur papier Moulin traditionnel Zerkall et grand papier japonais Washi.

 

OPTIONS SUR DEMANDE : – Personnalisation de la couverture de la boîte en papier par le calligraphe Washi par YoungSuk Kum. Rehaussement des enluminures et culs de lampe sur l’édition numérotée de 79 à 777.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Savoir découvrir un territoire

 

 

Entre reportage photographique et livre de recettes.

Ce livre est conçu pour faire découvrir un territoire, un produit d’excellence et de tradition, des hommes et des femmes qui vivent une passion pour satisfaire les gastronomes.

Un magnifique reportage photographique signé Franck Hamel, des histoires liées à ce mode d’élevage très traditionnel de « veau fermier élévé sous la mère », source d’émotion liée à des souvenirs du goût d’un lait tout juste sorti du pis de la vache.

Franck a suivi Olivier et Lucie, Philippe, Sylivie accompagnés de leurs vaches et de leurs jeunes veaux,le matin et le soir à l’étable pour les deux traites quotidiennes, la journée dans les champs, dans cette sublime campagne lotoise. Ensuite on passe à table et on découvre de délicieuses recettes de chefs des Bonnes Tables du Lot.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Savoir cuisiner la photographie culinaire.

 

8ème édition de la photographie culinaire dont le thème est Gastronomie et Haute-Couture. Dans ce livre, outre les photos des photographes festivaliers, on nous trouve la préface de Jean-Pierre P.J. Stéphan, président fondateur du FIPC, le mot des parrains, l’édito et enfin les trophées ou Lentilles d’Or.

Edition bilingue.

 

 

 

 

 

 

 

Savoir travailler la matière chocolat

 

 

Dix ans après Matière Chocolat, son premier livre Stéphane Leroux revient avec Bleu Chocolat.

 

Ce temps écoulé lui a permis de peaufiner son approche artistique.  Plus de cent pièces et techniques inédites (gestes et approches indispensables) sont présentées ici en deux volumes. Et comme la transmission est pour lui indispensable à l’évolution et à la préservation de l’esprit d’un métier, Stéphane Leroux partage généreusement son expérience et ses exigences en matière de locaux, de matériel, de matériaux de réalisation, de moules, d’empreintes et de différentes techniques utilisées au jour le jour  dans la production de ses pièces. Une belle mise en page, et de magnifiques photos mettent en lumière sa philosophie du travail et son plaisir à mettre en œuvre la matière chocolat qui est pour lui une réelle obsession. Stéphane Leroux appelle ici à la conscience du travail, de la patience et de la réflexion à déployer dans l’exploration de futures pistes et techniques de travail du chocolat. Au-delà de la technique, il y a encore « la connaissance de soi », qui lui a permis d’aborder des sujets différents avec un regard plus personnel.

 

Le livre artistique pour :

  • découvrir comment ce titre est venu à l’esprit de Stéphane Leroux
  • en savoir plus sur l’histoire de la couleur bleue dans l’alimentation
  • mesurer l’importance des 4 éléments (air, eau, terre, feu)  dans la pratique des métiers de bouche
  • connaître les avantages qu’offre la matière chocolat depuis l’état liquide jusqu’à l’état solide
  • et enfin, voir un photographe talentueux immortaliser une matière aussi éphémère que le chocolat.

Car le livre artistique, c’est aussi l’histoire d’une rencontre entre un photographe et un chocolatier. Tom Swalens et Stéphane Leroux sont des  passionnés. Ils se vouent admiration et respect. De plus ils collaborent depuis de nombreuses années.  Ils ont dû travailler pendant plus d’un an pour la publication de Bleu Chocolat. On veut bien croire que manipuler des créations en chocolat aussi fragiles et aussi sensibles à la température ambiante, n’est pas chose aisée dans le cadre de séances photo.

Loin de la verticalité, les œuvres de Stéphane Leroux correspondent à des paysages qui l’entourent : ceux d’Europe du Nord, minimalistes et panoramiques. On peine à croire que les réalisations les plus simples sont celles qui lui ont posé le plus de difficultés techniques.

Les réalisations du livre artistique sont clairement expliquées dans le livre technique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cuisiner, partager le savoir.

Textes : Guy KRENZER avec Caroline FACCIOLI et Marion CHATELAIN

 

 

Pour fêter les 60 ans d’excellence de la Maison Lenôtre, le chef Guy Krenzer propose 160 créations salées et sucrées, époustouflantes de créativité.

 

L’univers de la prestigieuse maison Lenôtre est porté depuis 60 ans par les valeurs de son fondateur, Gaston Lenôtre. Passion du métier, goût du travail bien fait, recherche de l’excellence s’expriment à travers les différentes disciplines de la Maison (restauration, traiteur, école) et les saveurs qu’elle infuse dans nos palais. Le chef Guy Krenzer perpétue brillamment cet héritage dans une étreinte, où la modernité du goût embrasse le défi de l’invention. Proposer une cuisine de Haute création, tel est le fil d’Ariane de ce livre. A travers huit « collections » – architecture, pantone, enfance, matière, luxe, love, super nature et bulle – le Chef propose 160 recettes salées et sucrées étonnantes. On y perçoit les silhouettes des beaux métiers de la gastronomie, de la charcuterie à la pâtisserie, en passant par la boulangerie, la cuisine chaude ou la chocolaterie. Huit créations emblématiques ponctuent ce défilé : les bûches Starck, Pierre Frey, Petit H, Le Prince Jardinier et Kenzo rivalisent de créativité avec la bouche de Nathalie Rykiel, l’œil d’Alicia Paz ou encore le Favart de l’Opéra Comique. Autant de rencontres gustatives entre des artistes et un chef d’exception, desquelles surgit une réaction essentielle : l’émotion.

 

 

 

 

 

Le premier livre de cuisine italienne en bande dessinée. 50 recettes extraites du grand classique La Cuillère d’argent, illustrées avec des dessins originaux.

 

Des recettes incontournables, comme les spaghettis carbonara, la pizza margherita, le poulet à la cacciatore ou le tiramisu.

 

Une introduction amusante et novatrice à la cuisine italienne, destinée spécialement aux jeunes adultes, aux amateurs de cuisine italienne et de livres de recettes, ainsi qu’aux bédéphiles.

 

 

 

 

Couv

«Les dîners de Gala ont été voués aux plaisirs du goût… Si vous êtes un disciple de ces peseurs de calories qui transforment les joies d’un repas en punition, refermez ce livre, il est trop vivant, trop agressif et bien trop impertinent pour vous. » Salvador Dalí. Le ton est donné ! La Gastronomie française est à l’honneur avec les nombreux plats d’un menu propre à une autre époque, celle des contemporains d’Auguste Escoffier et de ses disciples.

Cuisiner le titre. À l’origine, un dîner de gala est une réception de caractère officiel marquée par un grand apparat, une fête. Le choix du titre n’est pas anodin pour qui a épousé sa muse, Elena Ivanovna Diakonova rebaptisée et surnommée Gala par les amis de Dali. Il était  dix ans plus jeune que le mannequin et artiste russe, ex-femme de Paul Éluard. Dali l’a chérie et épousée, même à l’église, il était catholique. Leurs dîners mondains ont fait l’objet de bien des mythes. Petite définition : Gala prononcé [gaw-lah’], du grec « lait » ou du hébreu « se révéler soi-même, exposer, mettre à nu » .Y a-t-il lieu d’établir un lien entre les sens du mot gala et Les Dîners de Gala ? Mais non ! Ne cherchons pas, Dali a bien dédié cet ouvrage à sa belle !

Cuisiner la couverture. Un bijou  or 18 carats. Poésie marine et végétale contre matériau brut, la couverture est posée : elle raconte une odyssée gastronomique dont l’homme est le moteur.  Elle représente Les montres molles 1/2 sommeil,  sans doute inspirées du tableau surréaliste La Persistance de la mémoire, une huile sur toile peinte en 1931 par Dali.  Il s’agit selon le peintre, de la « course la plus lente et la plus vertigineuse contre la mort et le sybaritisme aigu » du « plaisir suprême des plats les plus délicats…que j’invite mes lecteurs à goûter »  d’une « gastronomie délirante que je choisis pour illustrer la propre couverture de ce livre qui, d’après mes plans doit transformer l’art de manger en extase holographique » .

Cuisiner le livre. En relief, du texte : la rédaction des recettes est simple, à l’ancienne,  et va à l’essentiel, nous renseignant sur les usages d’un milieu et d’ un temps. Des photos, en couleurs, d’époque, ça va de soi. Des tableaux et des illustrations du maître du surréalisme.  En toile de fonds, Dali nous livre  sa perception de la nourriture, en nous dévoilant son approche avec des pensées extravagantes. Il ne manque jamais de rendre  hommage à Rabelais, Gargantua, ou Pantagruel, des êtres dignes qui savaient faire honneur aux banquets. Ce livre, l’artiste en a imaginé et organisé tous les chapitres avec ses propres mots. Ils sont au nombre de 12. Intitulés « Les cannibalismes de l’automne»  ou  les « entre-plats sodomisés » ou « Les je mange Gala » ou encore «  Les montres molles ½ sommeil », ils annoncent  les recettes par type de plats : exotiques,  fruits de mer, œufs,  viandes,  escargots,  grenouilles,  poisson et crustacés, gibiers, volaille, porc, légumes, aphrodisiaques, entremets  desserts et  hors-d’œuvre. Le surréalisme de Dali ne s’est pas contenté de ces ingrédients habituels, son imagination hors norme nous  suggérant de la nouveauté en les représentant de façon exagérée. Ainsi, on sort des conventions. Avant de se lancer dans la lecture, apprendre à connaître Dali gastronomique et découvrir sa philosophie catholique, esthétique et mystique, en début d’ouvrage. Entrer dans la vie mondaine du couple, qui s’ouvre sur leur réception à Persepolis le 14 octobre 1971, à la table du Shahinshah Aryamehr et de l’Impératrice d’Iran. Le menu qui en témoigne est réinterprété dans ce livre, pour ce livre par l’équipe de chez Maxim’s. L’art, les voyages et la vie de l’artiste sont au cœur de l’ouvrage. Les menus d’époque et cartons d’invitation témoignent de la sollicitation incessante de l’artiste, qui est beaucoup convié de par le monde à des événements festifs  où l’on dresse  les plus grandes tables. Dali cuisinait-il ? On peut se poser la question quand on sait que les recettes inédites qui composent le livre ont été minutieusement élaborées par un chef désireux de rester dans l’anonymat. Le Buffet de la gare de Lyon ou Train Bleu, Lasserre, Maxim’s, La Tour d’Argent, ont tous  contribué à la publication de recettes gastronomiques françaises à titre gracieux. Les Dîners de Gala c’est 12 chapitres ou hors-textes conçus et signés par le  maître, 56 recettes illustrées en couleurs dont 21 élaborées par les grandes toques de l’époque œuvrant dans des restaurants étoilés de Paris. Les photos en couleur nous montrent ces établissements en présence de Dali, on perçoit bien l’esprit des lieux, et c’est aussi  l’histoire de la gastronomie française qui défile au fil des pages.

Cuisiner les recettes. Pâté, museau, terrine, crépinettes, pain de daube, rognon, tripes d’autrefois, fricandeau à la mode, consommé, bouillon, soufflé Kocisky, tarte aux bananes, etc…mais pas que…Les plats même simples ont une allure de fête surannée, et leurs intitulés sont dignes d’un menu de grands restaurants. Mais n’ayez crainte, de nombreuses recettes du livre sont accessibles au grand public et réalisables à domicile à condition de se préparer au voyage, se prêter au jeu surréaliste et savoir se pourvoir en ingrédients exotiques, exubérants, fantaisistes, simples ou somptueux. L’épaule de mouton du pacha doit être fameuse même si la cuisson est longue. Quant à la salade composée selon Alexandre Dumas, elle donne envie d’essayer.  Les épices sont quasi omni présentes, il y aura de l’alcool celui de figues par exemple, de la cervelle de mouton, du mou de veau, de la crème, du saindoux en lieu et place d’huile et de beurre, des tripes : panse, bonnet caillette, feuillet, de la tête de mouton, mais aussi d’autres ingrédients plus intemporels, pas de panique ! Certaines créations culinaires demandent bien sûr un certain niveau de maîtrise. C’est le cas des Tétons de Vénus, recette donnée par Maxim’s, ou des Truffes en feuilletage « Cendrillon » recette donnée par Lasserre. Des curiosités comme les « je mange Gala » ou les aphrodisiaques suscitent beaucoup d’intérêt, et nous servent l’unique cocktail du livre.

Cuisiner l’éditeur. À savoir : édition à l’empreinte carbone  nulle. Taschen affiche un bilan carbone neutre. Chaque année Taschen compense ses émissions de CO2 avec l’Instituto Terra, un programme de reforestation de l’Etat du Minas Gerais, au Brésil, fondé par Lélia et Sebastião Salgado.

 

 

 

 

0_cover__2_1_web“ARTISTS’ RECIPES”  BOLO Publishing – Lambrecht-2016 – Deuxième édition. Anglais.

Savoir cuisiner comme un artiste: voici la recette. Livre de recettes : 352 pages, 81 recettes d’artistes contemporains.  Un collectif sous la direction du duo d’artistes suisses Admir Jahic & Comenius Roethlisberger. 81 artistes du monde illustrent et partagent avec vous  leurs recettes préférées.  Lancé en 2015 lors de l’édition 46 d’Art Basel, l’ouvrage est réédité en 2016. La nouvelle édition  habille le livre de bandeaux et  de marques-page sur lesquels on peut lire des textes d’artistes comme Maurizio Cattelan, Ólafur Elíasson ou Judith Bernstein.  Unique en son genre, cet opus a connu beaucoup de succès. Il apparaît sur la liste Christie’s des meilleurs livres d’art 2015. Les versions originales illustrées ont été vendues aux enchères le 20 novembre 2015 à Bâle, dans la galerie d’art von  Bartha. Les recettes de ventes s’élèvent  à 35 000 francs suisses qui ont été versés à l’Association « Viva con Agua Swiss ». Cet argent a servi à financer un projet d’approvisionnement en eau  au Népal,  avec le concours de Helvetas, un organisme Suisse  de coopération au développement.  Les œuvres originales ont été exposées  à la Volkshaus Basel en 2016, lors de l’édition 47 d’Art Basel.

L’ouvrage s’ouvre sur une petite nouvelle signée Franziska Mueller et Tobias Lambrecht, des auteurs inspirés par Admir et Comenius, et qui ont pris  l’habitude de travailler avec la paire.  En guise de préface,  « The little girl who would go and make spaghetti” est un enseignement sur l’art et la manière de faire la cuisine qui ouvre grand les portes de l’aventure culinaire : cette ouverture est une invitation à l’ouverture. Il y a mille et une façons de faire la cuisine, et les artistes vont le démontrer au fil des pages. Les recettes sont transcrites de manière authentique. Une reproduction  manuscrite dans la langue de rédaction de l’auteur fait écho à une reproduction  dactylographiée en langue anglaise. A l’origine de ce projet, le duo d’artistes Admir Jahic & Comenius Roethlisberger. Pour ces fins gastronomes, passionnés par leurs pairs artistes,tout est source de débats enflammés: depuis la création de recettes en passant par le rituel de préparation, jusqu’à la richesse des émotions éprouvées en fin de repas entre amis. C’est leur amour pour la cuisine qui les a inspirés au point de publier ce livre. Le principe de départ était très simple ! Inviter d’autres artistes à partager leurs recettes préférées en leur donnant un plan à suivre avec des informations basiques à renseigner comme le nom du plat, la durée, les ingrédients, la préparation et l’illustration du repas. En dehors de ça, les artistes avaient carte blanche. Comestible ou incomestible? Qu’allons-nous pouvoir nous mettre sous la dent? De belles performances artistiques, du jeûne, des mots, de l’emballage, des marques, des mots et des mets délicieux. Allons donc apprendre à cuisiner à la manière des artistes! Aphrodisiaque, cervelat, chocolat, chips, friture, soja, poisson, sauce, repas végétarien, et bien d’autres régals. Nous aurons le choix, car le résultat est là : des recettes tout court, des recettes culinaires, des non recettes culinaires, des recettes artistiques, et d’autres recettes beaucoup moins conventionnelles.  À table! Et bon appétit!

 

 

CouvfinaleSavoir cuisiner graphique. Bilingue. Un livre de recettes intemporel. Un guide pratique qui porte bien son nom. Pour commencer, une table des équivalences et des temps de cuisson.  Ensuite, de quoi grailler toute la journée. Du breakfast à l’apéritif, du snack à la salade, du plat de résistance au dessert, ici tout est à votre portée et en quelques mots seulement. Pas une seule phrase mais des mots en anglais et en français. Pas une seule photo, mais des illustrations graphiques sobres. Ici, très peu de couleur.  Non, ceci n’est pas un « road map » !  C’est bien un livre de recettes façon “food map”. Déroutant, non ? On vous invite même à vous prêter au jeu en créant votre propre recette graphique, si une phrase tout de même celle-ci, formulant l’invitation de Bernard Viret ! Et en fin d’ouvrage, retrouvez les ingrédients et le kit de cuisine en pictogrammes. Simple et efficace.

 

 

pc_couverture_hdUn livre digeste ! 1 € reversé pour soutenir les actions des Banques Alimentaires.

 Savoir cuisiner partagerAvec ce livre vous allez partager et cuisiner. En partageant, vous allez séduire, faire plaisir et même pratiquer un hobby, qui sait ? En cuisinant, vous allez faire des économies, gagner du temps et vous donner les moyens de faire le plein d’énergie de façon équilibrée.  Tiffany Beucher balaie quelques idées reçues diététiques. Elle prodigue des astuces utiles à la vie culinaire de tous les jours tout en vous livrant des bons plans pour faire vos courses en toute sérénité. Découvrez vite l’action solidaire des banques alimentaires sur la France entière, de même que leur mode de collecte. Puis, lancez-vous tout de suite en cuisinant et en partageant les recettes classiques, plats flemme et plats réconfort de cet ouvrage, toutes accompagnées d’illustrations graphiques.