6 Juil 2018

crédit photo THOMAS DHELLEMMES
RIZ SACRE
En cuisine : 15 min + 15 min de cuisson
Pour 4 assiettes
1 tasse de riz basmati ½ complet
1 bâton de cannelle
8 filaments de safran
6 clous de girofle
6 gousses de cardamome
1 pincée de sel
2 c à s de sucre brun
1 c à s d’amandes effilées
1 c à s de pistaches
1 c à s de raisins secs
2 à 3 c à s de ghee
Après l’avoir rincé, mettez le riz à cuire à feu doux, avec 1,5 tasse d’eau, les clous de girofle et la cannelle et la pincée de sel. Le riz est cuit quand l’eau est totalement absorbée et qu’il forme une surface plane, avec des grains bombés et détachés. Pendant la cuisson du riz, faites chauffer une cuillère à soupe d’eau avec le safran, les grains de cardamome préalablement concassés, les pistaches et le sucre, jusqu’à dissolution du sucre.
Versez ce mélange sur le riz cuit. Dans une poêle, faites chauffer le ghee, ajoutez-y les raisins et les amandes et remuez jusqu’à ce que les amandes soient dorées. Versez-les sur le riz, mélangez et servez immédiatement.

Et aussi: Riz aux herbes
crédit photo THOMAS DHELLEMMES
6 Juil 2018

crédit photo THOMAS DHELLEMMES
Une préface de Blaise Angel, karma sannyâsin, professeur de yoga et formateur de professeurs.
Avec Anne-Claire Meret, naturopathe formée à la médecine ayurvédique.

Garlone Bardel
Bonjour Garlone, eau plate ou eau gazeuse ?
Eau Plate!
Quel plat mangez-vous bien volontiers en ce moment ?
Avec cette chaleur torride ? Une salade de pastèque, feta, olives niçoises, basilic.
Avez-vous toujours mangé ce plat ?
Non! Je suis auteur & styliste culinaire, je passe ainsi ma vie à explorer des recettes, à mettre en scène des recettes de chefs, ainsi mon répertoire culinaire est toujours
agrémenté de nouveautés. Mais seules les meilleures recettes laissent une empreinte forte et rentrent dans les bons basiques de la maison.
Quel est votre parcours culinaire ?
Il a commencé petite fille, je me trouvais toujours une petite place dans les cuisines qui attisaient ma curiosité.
Ado, je lisais les livres de cuisines comme je lisais des romans, étudiante, je faisais des pauses dans mes révisions en recopiant des recettes que je faisais le soir venu à mes colocataires.
Quand plus tard, l’année de ma maîtrise d’Histoire de l’art , j’ai croisé par hasard un styliste culinaire à un diner, je suis très vite après, rentrée dans les cuisines du stylisme culinaire, pour la presse et l’édition.
Et j’y suis toujours…
A-t-il plutôt influencé votre façon de manger, ou ce que vous mangez ? En quoi?
La curiosité permanente pour le goût, les saveurs, et le bonheur de bien nourrir le corps sont un élan permanent.
Et les connaissances nouvelles affinent toujours la qualité de ce que je mange et fais partager à mes proches.
Pouvez-vous nous raconter une première fois culinaire (préparation ou dégustation) ?
Chez Michel Bras: C’est le premier chef étoilé chez qui j’ai eu le bonheur de manger.
Plus précisément cela ne s’appelle pas manger : c’était faire l’expérience d’une œuvre d’art.
Quel est selon vous l’aliment qui incarne le mieux la mobilité de l’humain de nos jours?
Le pain. Il est partout, multi culturel, et se transporte et se mange en toute situation.
Quel aliment vous ferait défaut aujourd’hui si vous deviez vous en passer pendant un an ?
Oh beaucoup de choses…Mais peut être le thé.
Si on se fiait à vous pour nous recommander un restaurant ?
Clamato / sublime fraîcheur des produits/ simplicité exacerbée au service du goût.
Mais aussi Saturne. Je l’adore.
Et puis pour le midi : Super.
Si vous deviez nous présenter un produit et en partager la recette avec nous ?
Allez, gingembre! Et je parlerais d’une recette de petit déjeuner que j’aime beaucoup :
Granola maison, avoine, betteraves, gingembre. C’est un délice. Et sa couleur rose quand on verse le lait chaud qui se colore grâce à la betterave est superbe à l’œil.
Pour finir, quelques mots sur l’altérité et le « vivre ensemble »
Ah grande question!
Nous sommes tous reliés. Et c’est le sentiment de séparation, qui fait souffrir l’être humain, qui génère de la peur. Le sentiment d’être « autre ».
Rendez-vous compte, si vous étiez en état d’unité avec votre famille, vos voisins, la création? L’état d’unité, retire tout état d’angoisse, de négativité.
La vie a alors un autre goût, qui est un goût de douceur.

crédit photo THOMAS DHELLEMMES
1 Juin 2018
crédit photo Guillaume Czerw

Vanille
Christophe ADAM, La Martinière
le 31 mai 2018
Rencontre avec Christophe Adam
Burrata tomate vinaigrette agrumes vanille
Pour 6 personnes :
Cliquer sur l’image pour la recette

1 Juin 2018
crédit photo Guillaume Czerw

Christophe Adam, Vanille, La Martinière
31 mai 2018
Recette extraite du livre
Bonjour Christophe Adam, eau plate ou eau gazeuse ?
Les 2 selon les plats et mon humeur !
Quel plat mangez-vous bien volontiers en ce moment ?
Mes délicieuses pâtes à la « carbonara » et au cognac !
Avez-vous toujours mangé ce plat ?
Oui, je l’adore tellement.
Quel est votre parcours culinaire ?
J’ai commencé chez le pâtissier Legrand à Quimper avant de rejoindre l’atelier du très renommé Gavroche. Et avant de travailler sur mes propres projets, j’étais chez Fauchon pour inaugurer la boulangerie et développer le « snacking » chic. Tout ce parcours professionnel m’a permis de découvrir de grands chefs et de grandes tables.
A-t-il plutôt influencé votre façon de manger, ou ce que vous mangez ? En quoi?
Oui forcément un peu, car ça m’a permis de découvrir des produits, des préparations. Mais, je voyage énormément, alors j’aime manger sainement et simplement lorsque je rentre chez moi.
Pouvez-vous nous raconter une première fois culinaire (préparation ou dégustation) ?
Chez El Bulli en Espagne.
Ci-dessous de gauche à droite images tirées du livre crédit photo Guillaume Czerw : Vanille et dérivés, Tarte vanille chocolat, Thé glacé vanille.


25 Avr 2018
crédit photo Guillaume Czerw

Christophe Adam, Fraise, La Martinière
15 mars 2018
Recette extraite du livre

Bonjour Christophe Adam, eau plate ou eau gazeuse ?
Les 2 selon les plats et mon humeur !
Quel plat mangez-vous bien volontiers en ce moment ?
Mes délicieuses pâtes à la « carbonara » et au cognac !
Avez-vous toujours mangé ce plat ?
Oui, je l’adore tellement.
Quel est votre parcours culinaire ?
J’ai commencé chez le pâtissier Legrand à Quimper avant de rejoindre l’atelier du très renommé Gavroche. Et avant de travailler sur mes propres projets, j’étais chez Fauchon pour inaugurer la boulangerie et développer le « snacking » chic. Tout ce parcours professionnel m’a permis de découvrir de grands chefs et de grandes tables.
A-t-il plutôt influencé votre façon de manger, ou ce que vous mangez ? En quoi?
Oui forcément un peu, car ça m’a permis de découvrir des produits, des préparations. Mais, je voyage énormément, alors j’aime manger sainement et simplement lorsque je rentre chez moi.
Pouvez-vous nous raconter une première fois culinaire (préparation ou dégustation) ?
Chez El Bulli en Espagne.
